Voici mes conseils pratiques et bons plans pour découvrir l’Andalousie.
Pour (re)découvrir la première partie de mon voyage andalou, de Grenade à Sévile, c’est par ici !
Pour (re)lire mon article sur la deuxième partie de mon voyage andalou, de Séville à Malaga, c’est par là !
Quand partir ?
Logiquement, la meilleure période pour partir en Andalousie est le printemps et septembre/octobre. L’été est caniculaire, vous profiterez moins ! Pour ma part, j’y suis allée en mai et le temps a été globalement très ensoleillé.
Où loger ?
J’ai alterné hôtels et Airbnb, suivant le nombre de nuits passées au même endroit.
Grenade : Molinos Hôtel (chambres petites, mais proche d’un bus montant à l’Alhambra et d’un parking)
Séville : Nous avons trouvé un Airbnb spacieux et avec une petite terrasse dans le quartier de San Julián, légèrement excentré mais plus abordable. Suffisamment bien placé pour pouvoir tout faire à pied.
Torremolinos : nous avons privilégié un hôtel dans cette ville (dans les hauteurs, et non en bord de plage, trop cher) pour pouvoir facilement se garer et être à proximité de l’aéroport car notre avion était très tôt.
Comment voyager et se déplacer ?
Les lignes entre la France et l’Andalousie sont régulières entre Paris et Séville ou Paris et Malaga. La compagnie Easyjet, positionnée à Malaga propose des tarifs bien plus intéressants que vers Séville. Attention cependant aux tarifs pendant la semaine sainte. Adorée des andalous, cette semaine est donc prohibitive sur les billets d’avion et réservations d’hôtels.
Pour cette semaine de découverte, nous avons privilégié la location de voiture, très pratique pour se déplacer d’une ville à l’autre librement. Les lignes de train et de bus sont également nombreuses entre les principales villes andalouses.
Ces villes visitées sont à taille humaine. J’ai donc tout visité à pied.
Que manger ? Que boire ?
Inutile de préciser que la gastronomie andalouse est divine ! Voici un florilège de mes mets et adresses préférées.
Nous avons gouté une très bonne Paëlla dans un restaurant à Ronda avec vue sur le Tage : la Casa Santa Pola.
Concernant les spécialités andalouses, difficile de se souvenir de tout puisque le jeu est de prendre plusieurs petites assiettes. Pèle mêle : le Salmorejo, le Chorizo, des Escargots, des Epinards, des fritures de poissons ou à la plancha, le célèbre Jamón serrano ou ibérico, les Habas, les salades en tout genre et les tartines…
Deux coups de cœur de restaurants à Séville où l’on peut découvrir la gastronomie sans chichi et dans la plus pure tradition andalouse :
- El Rinconcillo : un bar à tapas ouvert depuis 1670 où l’on commande à même le comptoir. Ambiance garantie dans un lieu « pur jus » !
- Cafeteria Santa Ana (Chez Pépé pour les intimes) dans le quartier de Triana : chaudement recommandée par un ami sévillan. Pas de chichi dans ce restaurant, mais des tapas simples et délicieux pour des tarifs très abordables !
Concernant les boissons, on ne s’ennuie pas non plus. Bières locales, excellents vins rouges et blanc, xérès… On a eu l’embarras du choix !
Quels livres ?
Si vous n’avez précédemment pas fait l’acquisition d’un guide complet de l’Espagne, je vous suggère les classiques Lonely Planet et Routard sur l’Andalousie. Impossible d’être déçus !